chroniques (en)caustiques

chroniques (en)caustiques

- Ou je tente un meurtre sans préméditation (enfin, sait-on jamais...l’inconscient…) sur le garagiste.

 

 

Arrivée au garage, le gars déplace lui-même ma voiture sur son parking, ouvre le capot, se rend compte qu’il y a apparemment une fuite au niveau d’une durite (tu m’étonnes !) et me demande de monter dans la voiture pour mettre le contacte.

Je m’exécute.

Dommage...

La voiture fait un bon en avant (le gars avait mis une vitesse au lieu du frein à main, sur du plat, à l'époque, novice que j'étais, je ne connaissais pas la technique) et manque d’écraser le garagiste sauvé, in-extrémis, par un poteau en relief qui sortait du mur, et contre lequel il auscultait mon moteur !!!

 

Le bonhomme, encore plus livide que moi le jour du tête à queue, s’en sort.

Par contre, la voiture, comment vous dire…

Le capot a été sauvé, c’est toujours ça (il était ouvert), mais pour le reste...tout est enfoncé et encastré dans le poteau !!!!...sauf le garagiste, et c'est bien là l'essentiel me direz-vous...mais bon...

 

Ce dernier, par bonne conscience, me recercle ma durite (j'étais un peu venu pour ça, au départ),  et d'ailleurs, après réflexion, c’était une des pièces qui s’ennuyait dans la boite à chaussure...

La voiture roule quand-même (elle en a vu d'autre, elle est blasée maintenant).

Je rentre chez moi.

Question : comment annoncer encore cela à mon père ?????...

 

..." Papa, je sais, ça fait trois fois de suite, j'ai un peu emboutit la voiture..." bouh, snif, suis trop nulle...

 

 

 

.



25/07/2012
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 48 autres membres