chroniques (en)caustiques

Ainsi donc, les choses s'arrangent.

Sans doute l'arrivée du printemps ; on se sent pousser des étamines et le quotidien prend un nouveau parfum…

Bref, coté machine à laver, en fait, on en est quand-même à la troisième fuite. Une certaine lassitude a entamée notre foi en la toute nouvelle tuyauterie. Parfois, je soupçonne Mon'homme de le faire un tout petit peu exprès histoire de pouvoir lui aussi jouer, le week-end, au plombier sexy. En même temps, moi, le week-end, je jouerais bien à autre chose (au scrabble par exemple. Sauf qu'il n'aime pas). Du coup, si dans trois semaines ça continue d'inonder la cuisine, il faudra bien changer de plan: vrai plombier ou nouvelle machine. Mon'homme s'est gardé un plan D sous le coude pour le week-end prochain: tout souder définitivement avec…une matière bizarre (les plans B et C ont déjà échoués: changer des tuyaux/plan B, et changer d'autres tuyaux/plan C !). Sans doute une volonté inconsciente de prouver sa supériorité sur la machine. Acharnement thérapeutique diraient d'autres. En fait, c'est surtout qu'on est un peu fatigué du consommable/jetable, alors, on va y croire jusqu'au bout.

Il n'y a pas de raison d'ailleurs, ça a bien marché pour les filles (les réparations). Bon, en même temps, je n'avais pas gardé l'emballage; on ne me les aurait sans doute pas reprises. D'un autre coté, si j'avais gardé l'emballage (le placenta ?), elles auraient été bien moins présentables ! Mais je m'éloigne et ça devient trash.

Ainsi, Princesse-Fafa, qui avait eut un problème de trichotillomanie (joli mot pour un trouble du comportement pour le moins sévère: l'art de se nouer et/ou s'arracher les cheveux) est tout à fait guérie !

Et Lili-Puce ne tousse plus depuis au moins...deux semaines: et bien, s'est déjà ça !       

Ya d'la joie !