chroniques (en)caustiques

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- Bonus.

 

Que vous dire de plus ?

En vérité, je suis quasiment sûr d'oublier des tas d'autres pannes plus pourries les unes que les autres.

Par exemple, un 14 Juillet, alors que j'étais avec des amis et que je leur racontais justement ce qui m'étais, parfois, arrivé à ma 205 et moi, plus personne, bizarrement, ne veut m'accompagner en voiture au feu d'artifice. J'y vais donc seule. Croyez-le ou pas, au retour, en plein bouchons en ville, je tombe en panne ! Une histoire de ventilateur je crois. Je vous passe les détails.

Six mois plus tard, sous la neige, rebelote: j'ai juste le temps d'arriver sur mon lieu de travail, de le dépasser (trop de bruits troublants dans le moteur) et de poser mon véhicule vingt mètres avant le garage qui l'avoisine (judicieux pour eux, pratique pour moi !). Je pousse donc la voiture jusqu'au parking (elle y restera une bonne grosse semaine la garce), repart à pied dans l'autre sens, et croise, toujours sur la route enneigée, une autre voiture en panne, deux cent mètres trop tôt celle-là. Je me propose donc, malgré la négation polie des deux occupants, d'aider à pousser: « Non, franchement, je ne suis plus à ça près vous savez, je sais ce que c'est ! »

 

Ha oui, tiens, j'oubliais une panne rigolote (enfin, si on veut, car sur la route c'est carrément problématique quand on double un camion qui nous serre par exemple): la panne de klaxonne !

Si c'est possible.

C'était d'ailleurs un problème récurrent sur les 205.

On a fini par comprendre pourquoi, à force de chercher frénétiquement et très longuement où ils avaient bien pu le planquer, le pénible: au plus bas sous la carrosserie, au niveau des roues et du bitume ! Deux ans plus tard: re-panne !...mais on savait où il était: on a gagné du temps !

 

Dernière anecdote croustillante : celle déjà racontée en 2003.

En résumée, et pour ce qui nous préoccupe (ma santé mentale et ma 205):

Donc, je vous raconterais plutôt une autre rentrée: celle ou j'étais parti en vacances un bon mois, en août, en laissant ma 205 à l'ombre d'un arbre.

En fait d'arbre, c'était un prunier géant dont les prunes violettes sont venues s'écraser en gros tas gluant sur le toit et tout le coté droit de la voiture; en macérant pendant tout un mois ! Sympa les odeurs  !!!! Un délicat mélange de fermentation alcoolisée et de moisi...

Le résultat, c'est qu'en allant au boulot, certains de mes collègues ont cru que que la voiture avait brûlée !!! La carrosserie blanche n'était plus, dirons-nous, très proprette (en plus de l'odeur, donc) elle avait virée au marron et avec ma portière cabossée, ils ont cru que j'avais fait un tonneau et qu'une partie avait cramé  (non mais où vont-ils chercher tout ça?...oui, ok, les têtes à queue, aquaplaning, embourbement...ça se tient) !

Le soir, je l'ai passée trois fois sous les rouleaux, ça n'a quasiment rien fait. Le gars de la laverie n'avait jamais vu ça: il m'a donc offert une fin de bidon spécial décapant-extrême pour frotter la carrosserie avec mes petits bras musclés et mes talons hauts (pour atteindre le milieu du toit). C'est « presque » tout parti: les auréoles, c'est joli aussi.

Ça c'était une rentrée facétieuse. Mais si.



20/05/2010
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