chroniques (en)caustiques

chroniques (en)caustiques

- Pas de repos pour les braves. 21-10-02.

 

L'histoire se passe au milieu de la nuit et donc, en toute logique, nous dormions...quand soudain, je me suis mise à hurler le prénom de Mon'Homme. Du coup, forcément, ça l'a un peu réveillé et le premier truc auquel il a pensé, c'est qu'il y avait une bestiole dans le lit, du genre scolopendre ou scorpion (voir la chronique précédente).

Je lui ai alors calmement expliqué que j'avais crié (très fort) parce qu'il m'avait parlé dans mon rêve,  et que je voulais lui répondre et...  me suis rendormie aussi sec.

Lui a trouvé ça, tout de même, plus angoissant que drôle.

Faut dire, la nuit, on a beaucoup moins le sens de l'humour.

 

Si on ne peut même plus communiquer dans un couple…

 

En même temps, je tentais, peut-être inconsciemment, de tester ce proverbe persan: "Le jour a des yeux, la nuit a des oreilles"...Allez savoir...

 

Tiens, j'en ai trouvé un autre de proverbe, sur la nuit, touareg celui-là: "Mieux vaut passer la nuit dans l'irritation de l'offense que dans le repentir de la vengeance" (et mieux vaut lire deux fois ce proverbe pour bien l'intégrer), et je confirme en remerciant Mon 'Homme qu'il ne m'ait pas hurlé dessus en retour. Ç'aurait été puéril ET pénible. Un bon gros cri dans la nuit, ça suffit comme ci...

 

 

Vue de notre salon.



11/06/2009
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 48 autres membres